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    LE MUGUET DE MAI

     

     

     

    Sous le doux ciel de mai, 

    les clochettes s’épanouissent,

     Le muguet, timide et gracieux, se réveille dans la rosée.

     

     Ses pétales blancs, comme des baisers délicats, 

    Embaument l’air, envoûtant nos cœurs énamourés.

    Dans les bois, il se cache, humble et mystérieux, 

    Ses clochettes dansent au rythme du vent léger. 

     

    Il murmure des secrets d’amour aux étoiles,

     Et chaque brin porte un vœu, un espoir insensé.

    Offrons-nous ce muguet, symbole de pureté,

      Comme un talisman contre les peines et les tourments.

     

     Qu’il nous porte bonheur, qu’il éclaire nos chemins,

     Et que nos rêves s’épanouissent, doucement.

     

    Joyeuse fête du muguet !

     

     

     

     

     

     
     
     
     

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    Le Muguet du Printemps

     

     

    Dans les bois secrets du printemps,

    Le muguet épanouit ses clochettes, 

    Un doux secret qu’il nous chuchote, 

     

    Ses pétales, comme des baisers légers,

      S’ouvrent timidement au premier Mai,

     Et dans leur parfum sucré, ils portent 

    Les sourires et les joies d’offrir.

     

    Chaque brin de muguet, un trésor,

     Un éclat de tendresse à partager, 

    Comme un doux murmure à l’oreille,

      Un baiser délicat sur la joue.

     

    Alors, cueillons ces instants précieux,

      Offrons des bouquets de muguet,

      Et que leurs clochettes sonnent

    Comme des rires d’amour éternel.

      

     

     

    Car le muguet, humble messager,

      Nous rappelle que dans chaque geste, 

    Dans chaque sourire, dans chaque offrande,

     Réside la magie du partage sincère.

     

    Que ce brin de muguet  t’apporte autant de douceur

      Que les pétales du muguet au vent léger !

     

     

     


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    Pluie de Printemps

     

    Pluie de Printemps tombe du ciel,

    Parfumée au soleil qui vient pointer son nez.

    Les plantes sourient à la lueur du jour,

    Et viennent offrir leur cœur à ses gouttes semées.

     

    Pluie de printemps, plus belle que l'automne,

    Vient rafraîchir les cœurs, vient inonder les cours.

    Elle caresse les pétales des roses timides,

    Comme un doux secret partagé entre amoureux.

     

    Les arbres s’inclinent, leurs feuilles frémissantes,

    Chantent une mélodie douce et apaisante.

    Les pavés mouillés reflètent les étoiles cachées,

    Et les rues deviennent des chemins enchantés.

     

    Sous cette pluie romantique, nos pas se mêlent,

    Nos regards se cherchent, nos cœurs s’entremêlent.

    Le monde devient un tableau de couleurs vives,

    Et chaque goutte est un baiser que la nature nous livre.

    Alors, chère âme, laisse-toi emporter par la pluie,

     

    Dans ce ballet d’amour où tout est permis.

    Le printemps chante sa sérénade, et nous écoutons,

    Nos cœurs s’imbibent de douceur, comme une chanson.

     

    Que ce poème apporte un peu de la magie du printemps,

    sous une pluie délicieuse.

     

     


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    AVRIL

     

     

    Oh ! Soyez le bienvenu, Printemps, Ami joyeux qui nous accueille ! 

    Fais voler tes cheveux flottants 

    Sous ton riant chapeau de feuilles.

     

    Voici le doux mois, cet Avril, Qui sur l’asphalte, en son extase, 

    Fait briller le chrysobéryl Et flamber la jaune topaze.

    Mille rameaux pleins de bourgeons Préparent leur folle parure,

     C’est pourquoi, mes amis, songeons

      À dépouiller notre fourrure.

     

    Serrés par de légers vestons Et de clair soleil idolâtres, 

    Les hommes, comme des festons, 

    Vont briller en tâches folâtres.

    Les Halles offrent leurs primeurs. 

    On peut admirer les asperges, 

    Grosses, pour charmer les rimeurs, 

     

    Comme des bras de jeunes vierges.

    Pareille aux flammes d’un brasier, Eve, la jeune fleur éclose,

      Sent, comme un bouton de rosier,

      S’épanouir sa gorge rose.

    Plus grisante que les raisins,

      Elle va, par un art insigne,

     

      Dans les divers Grands Magasins Acheter sa feuille de vigne.

    Prête à payer d’un seul radis

     Le philosophe ennuyeux, comme autrefois, dans le paradis, 

    Elle aspire à manger la pomme.

    O psychologue, esprit ouvert ! Même, il faudrait que tu la visses 

    Grignoter, avant ce fruit vert,

     

      Un tas de rouges écrevisses.

    Pendant ces jours aventureux, Le coucou chante sa romance,

     Et les dictons mystérieux, 

    Ils murmurent leur douce cadence.

    “En avril, ne te découvre pas d’un fil ;

     En mai, fais ce qu’il te plaît.”

     

    Ainsi, Avril danse avec légèreté,

      Ses secrets murmurés par les vents, 

    Et nous invite à célébrer la beauté

      De ce mois où tout renaît, vibrant.

     

     


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    Oeufs de Pâques

     

     

     

    Voici venir Pâques fleuries,
    et devant les confiseries
    Les petits vagabonds s’arrêtent, envieux.
    Ils lèchent leurs lèvres de rose
    tout en contemplant quelque chose
    qui met de la flamme à leurs yeux.

    Leurs regards avides attaquent
    Les magnifiques œufs de Pâques
    Qui trônent, orgueilleux, dans les grands magasins,
    Magnifiques, fermes et lisses,
    Et que regardent en coulisse
    Les poissons d’avril, leurs voisins.

    Les uns sont blancs comme la neige.


    Des copeaux soyeux les protègent.
    Leurs flancs sont faits de sucre. Et l’on voit, à côté,
    D’autres, montrant sur leurs flancs sombres
    De chocolat brillant dans l’ombre,
    De tout petits anges sculptés.

    Les uns sont petits et graciles,
    Il semble qu’il serait facile
    D’en croquer plus d’un à la fois ;
    Et d’autres, prenant bien leurs aises,
    Unis, simples, pansus, obèses,
    s'étalent comme des bourgeois.

    Tous sont noués de faveurs roses.
    On sent que mille bonnes choses
    Logent dans leurs flancs spacieux
    L’estomac et la poche vides,
    Les pauvres petits, l’œil avide,
    semblent les savourer des yeux.

     

     

     
     
     
     
     

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